Harald Schumacher
Pour les gamins présents devant leur télévision le 8 juillet 1982, il restera à jamais comme l’incarnation de la violence sur les terrains de foot.
Pour peu que vous ayez vu le match avec Pépé, de vieux relents de haine franco-allemande, dissous depuis dans la construction européenne, remontent en surface et vous font éructer des mots incompréhensibles en patois nord-isérois.
Malgré tout, Toni reste un gardien de classe mondiale et les dents de Battiston sont toujours à Séville.
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